C. Bigot
Pour retrouver les noms passer la souris sur le visages
J. Tarjus
N. Charbit
J. Coulomb
J. Saint Etienne
S. Destivelle
R. Aubinière
P. Chiquet
G. Pompidou
J.P. Causse
A. Peyrefitte
J.E. Blamont
B. Dementhon
C. Froger
D. Debernard
ils ont l'air tous, contents et satisfaits mais c'était déjà très, trés mal parti.... pour la suite.
....mais voilà, les militaires ne s'intéressaient pas à l'espace....
....mais voilà, les militaires ne s'intéressaient pas à l'espace....
Ce que pensait Pompidou.... (Conseil du 22 février 1966)
«C'est ennuyeux! Je constate que les Français prennent goût aux réussites spatiales. Ça se met à passionner ..... il va être maintenant difficile de revenir en arrière. Or ça coûte horriblement cher, sans autre bénéfice que la gloriole.»
.... A propos de l'utilité du lancement du satellite français FR 1 à partir de la base américaine de Vandenberg,: «10 milliards, pour quoi faire? (II parle en anciens francs quand il veut gonfler la dépense.) Tout ça est aberrant! Aberrant»
«Pourquoi ne pas transférer (sur les militaires) les moyens que nous donnons au programme CECLES-ELDO, qui ne sert à rien. Il faut que nous arrivions à satelliser une tonne et nous devrions pouvoir y arriver par nos propres moyens. Alors, nous aurons nos satellites de télécommunications bien à nous. Alors, nous serons capables de tirer des profits commerciaux de nos entreprises. Alors, nous serons vraiment la troisième puissance spatiale. Nous ne le serons pas si nous restons à la remorque d'un programme européen plus ou moins tocard.»
C'était de Gaulle A. Peyrefitte p 1330-1331
.... A propos de l'utilité du lancement du satellite français FR 1 à partir de la base américaine de Vandenberg,: «10 milliards, pour quoi faire? (II parle en anciens francs quand il veut gonfler la dépense.) Tout ça est aberrant! Aberrant»
«Pourquoi ne pas transférer (sur les militaires) les moyens que nous donnons au programme CECLES-ELDO, qui ne sert à rien. Il faut que nous arrivions à satelliser une tonne et nous devrions pouvoir y arriver par nos propres moyens. Alors, nous aurons nos satellites de télécommunications bien à nous. Alors, nous serons capables de tirer des profits commerciaux de nos entreprises. Alors, nous serons vraiment la troisième puissance spatiale. Nous ne le serons pas si nous restons à la remorque d'un programme européen plus ou moins tocard.»
C'était de Gaulle A. Peyrefitte p 1330-1331
Matignon: juin 1966
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