T dont le niveau dans la hiérarchie, était modeste, semble surpris par cette interdiction, alors que par ailleurs 70 journalistes étaient présents sur le terrain.
I
l ne savait que le tir précédent avait été classé “Secret Défense”.
Peut être avait on omis, pour ce lancement, de modifier toutes les directives ?
A l'époque nous étions jeunes, nous apprenions vite et avec enthousiasme...
Curieusement il y avait cependant des sujets pour lesquels notre faculté d'assimilation était totalement en défaut.
Ce fut le cas du "port du badge obligatoire".....
La direction du centre de Brétigny, soucieuse de la formation du personnel eut une idée originale.
Deux directeurs se placèrent un jour à l'entrée du restaurant et expliquèrent le bien fondé de la nécessité du badge pour pouvoir profiter du menu du jour. (Michel Lefèbvre m'a assuré que l'un des deux était Jean Pierre Causse, il ne se rappelle pas le nom du second.. Peut être le connaissez vous ?)
"T" se remémore brusquement , à l'entrée du restaurant d'Hammaguir", cet épisode de sa formation, mais aussi dévoile avec l'oubli de son badge qu'il a été dans l' incapacité (comme d'ailleurs la plupart de ses collègues) d'assimiler l'intérêt de ce nouveau concept venu semble t il des Etats Unis.
40 ans et une génération après, on peut constater, avec plaisir, au restaurant du CNES de Toulouse, la réussite des nouveaux dirigeants sur ce point important.
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